![]() Équipements usagés: Voici quelques conseils concernant l’équipement usagés. Pour ce qui en est des détendeurs : malgré le fait que les offres semblent souvent bonnes, il faut faire attention, les prix varient entre 250$ à 550$ dans l’usagée. Sur le prix il faut rajouter la maintenance du détendeur complet aux 2 ans, (je parle de remplacer les pièces orings et autres) on appelle ça un kit de maintenance ceux- ci sont en moyenne dans les 100$ , donc sur 10 ans le cout du détendeur, sera si j’achète un détendeur usagée de 400$ + 500$ en pièces pour un total de 900$. Sur le marché dans les bons détendeurs pour eau froide un détendeur complet peu se trouver pour environ 1200$ max on parle vraiment d’un très bon détendeur, cela parait dispendieux mais laisser moi continuer. Certaines marques sur le marché offre à l’achat d’un détendeur, un service de pièces gratuit à vie .Bien sûr il y a des conditions, comme entretien préventif a chaque année et entretien complet au 2 ans fait par un dépositaire agrée de la marque en question. Alors si je fais le calcul 1200$ moins les pièces pour 10 ans et 10 ans pour un détendeur c’est quand même jeune. 1200$ moins 500$ cela donne 700$ sur 10 ans pour un détendeur neuf versus un détendeur usagée de 900$. P.S. je n’ai pas compte la prévention à chaque année car le temps du technicien n’est pas pris en compte mais ceci sera la même chose pour un détendeur usagée alors il y a équilibre. Pour les wetsuits : je conseillerais de vraiment l’essayer avant, et pour les dédaigneux le désinfecter avec un produit pour wetsuits avant. S’il fait comme un gant et seulement si alors on peut acheter. Mais les wetsuits neuf vont s’étirer et épouser notre corps. Pourquoi il y a plusieurs marque sur le marché c’est parce que dans une marque on peut être super confortable à cause de la coupe et dans d’autre marque on s’en un inconfort, donc il y a un grand avantage à acheter un wetsuits neuf. Veste de plongée voilà une ligne ou l’on peut vraiment y aller dans l usagée. Par contre il faut vraiment savoir ce que l’on veut avant. Veste traditionnelle, veste à ballon arrière style wing, harnais avec ballon, veste technique veste hybride semi tech, etc etc. Il a y une gamme dans les vestes, mon conseil serait de prendre une veste ballon arrière, avec la possibilité de changer le ballon ou l’intérieur (la vessie). On voit sur la photo la vessie il y a une fermeture éclair et la vessie peut se changer facilement, ce style de veste va avoir une durée de vie très très longue. Cylindre : un cylindre a une durée de vie très longue, mais demande quand même une certaine maintenance, visuel à chaque année, et test hydrostatique aux 5 ans. 55 $ plus les pieces (+-40$). Cylindre neuf environ 200$ pour un aluminium 80 pi.cu. Et 325$ pour un acier 80 pi.cu. Entre 75$ à 130$ pour du usage, donc si la cylindre est à jour pour hydro et visuel a 130$ c’est une aubaine, par contre si elle n’est pas à jour, a 130$ plus 55$ remplissage hydro et visuel plus les pièces,cela deviens un peu dispendieux compare à un cylindre usagée. Palme masque et tuba : Le masque est un des items les plus importants dans la plongée sous-marine, donc il faut en essaye pour voir le confort et si le masque épouse bien le contour du visage. Les palmes au fur et à mesure que vous allez prendre de l’expérience votre palmage va changer et les palmes que vous allez utiliser devront être adaptées à votre nouveau style de palmage. Flutter kick , Frog kick , Back frog kick helicopter kick etc,etc,. Le tuba est vraiment un item accessoire. Je m’explique un tuba a 120$ versus un tuba a 40$ les 2 vont faire le travail en plongée sous-marine a moins que vous l utilisez vraiment beaucoup pour faire de la balade en palme masque et tuba. Ordinateur de plongée : Je suggère un modèle que l’on peut soi-même change la batterie. En conclusion, il peut y avoir de bonne aubaine, sur le marché de l’usagée, mais il faut quand même faire attention.
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Exercice et plongée comment faire les 2 Les médecins et les chercheurs de DAN répondent à vos questions sur la médecine de plongée. Comment un professionnel de plongée doit-il rester en forme quand on lui conseille d'éviter un exercice vigoureux dans les 24 heures suivant la plongée? Quel type d'exercice est recommandé pour un divemaster ou un instructeur qui plonge quotidiennement? Le problème que vous décrivez est, malheureusement, quelque chose d'introuvable. Il n'y a pas de solution facile. Un compromis est presque toujours nécessaire. La règle la plus simple est que l'exercice à plus forte intensité doit être séparé de la plongée, en particulier des plongées plus extrêmes. Certains coureurs courent tous les jours indépendamment d'autres activités. La première recommandation pour ces personnes est qu'elles plongent de façon très conservatrice. Ce conseil est en lui-même un problème car il est difficile de quantifier «conservateur», et l'esprit de la recommandation n'est généralement pas compris dans la communauté de plongée. La plongée dans les limites d'un ordinateur de plongée ou d'une table ne constitue pas nécessairement un conservatisme. Il existe une variété de limites différentes, et de nombreux plongeurs ont développé des symptômes tout en adhérant à eux. Les ordinateurs ou les tableaux fournissent des estimations pour une variété de personnes et des expositions basées sur des apports limités. Un défi majeur dans l'appréciation du risque de maladie de décompression (DCS) est son caractère probabiliste. Le fait qu'un plongeur puisse tolérer une exposition donnée une fois, deux fois ou dix fois sans incident ne signifie pas que l'exposition est sûre. Si DCS résulte de la 100e exposition, ce n'est pas un coup non mérité - le plongeur a simplement fini sur le mauvais côté de la ligne de probabilité ce jour-là. Les humains ont tendance à laisser les bonnes habitudes s'éroder quand rien de mauvais ne se produit. Nous avons tendance à augmenter notre vitesse de conduite et pousser la profondeur et / ou les limites de temps sur les plongées. De plus, nous n'arrivons souvent pas à comprendre que nous ne sommes pas aussi conservateurs que nous étions autrefois. Cela peut conduire à la surprise quand les choses tournent mal. Cette surprise peut créer une tendance à chercher un facteur à blâmer. Avec DCS, la déshydratation est souvent le bouc émissaire. La réalité dans la plupart des cas est qu'un état semblable d'hydratation a probablement existé sur beaucoup d'autres plongées. Le véritable problème de cette tendance est qu'elle peut encourager le plongeur à ignorer le profil de profondeur, qui est de loin le facteur le plus important. Bien qu'il peut être réconfortant d'identifier une cause simple, c'est un mauvais service à la sécurité. Le risque de DCS est affecté par un grand nombre de facteurs agissant dans un concert compliqué. Le conservatisme vrai est nécessaire pour augmenter la probabilité de résultats constamment sûrs. Le coureur quotidien aura un sens des douleurs normales et l'inconfort associé à son exercice. Une douleur ou un inconfort atypique chez un plongeur suscite la suspicion d'une blessure par décompression. Encore une fois, le choix idéal pour cette personne serait de limiter la plongée à des expositions conservatrices. Le prochain meilleur choix serait de s'adapter à l'activité physique intense aussi loin de la plongée que possible. Il est plus prudent de limiter l'activité physique à celle avec des forces articulaires très faibles - plus la plongée est proche, plus les forces sont basses. La natation modeste, par exemple, implique des forces d'articulation beaucoup plus faibles que la course. Le cyclisme peut également impliquer des forces articulaires inférieures à la course. Ce ne sont cependant pas des absolus. Il ne suffit pas de choisir une activité qui pourrait avoir des forces communes basses; Il est nécessaire de le pratiquer de manière à assurer des forces articulaires basses. L'approche pratique consiste à séparer l'activité physique de la plongée, avec l'exercice de la plus faible intensité le plus proche de la plongée. La natation et la marche produisent généralement moins de fatigue que le vélo ou la course intense. Les forces articulaires élevées et répétitives doivent être minimisées. Le plongeur doit être conscient du niveau d'activité et honnêtement évaluer le risque. En prenant de petites décisions qui favorisent systématiquement l'option légèrement plus sûre par rapport au légèrement plus agressif, un tampon de sécurité adéquat peut être créé. Ce n'est pas une réponse simple, mais la réalité est désordonnée. Exercice, en particulier l'exercice intense, peut augmenter le stress de décompression efficace. Si elle n'est pas évitée, une évaluation honnête des conditions et des actions est importante pour contrôler le risque. Si un problème se développe, il est préférable de sauter les phases de refus et de blâme. DCS peut et se produit, souvent à la suite de plongées qui ont été supposés être sûr. En fin de compte, chaque plongeur doit apprécier les risques, travailler à les contrôler et accepter que la plongée implique des dangers complexes. Se pencher ne doit pas être considéré comme un échec personnel. Être ouvert à la possibilité de DCS peut démarrer un plongeur sur une route très positive de préparation et d'action pour réduire les risques à chaque occasion. Exercer une activité physique réfléchie; Finalement, le plongeur auto-conscient et autocritique (honnête) finira probablement par être le plus sûr. - Neal W. Pollock, Ph.D. http://www.diversalertnetwork.org/health/decompression/Specific-tips-and-tricks?utm_content=sf52195025&utm_medium=spredfast&utm_source=facebook&utm_campaign=Divers+Alert+Network+(DAN)&sf52195025=1
Maladie de décompression-Conseils et astuces spécifiques ordinateurs de plongées Vous devez savoir non seulement quels boutons pousser pour faire fonctionner votre ordinateur, mais aussi quel modèle mathématique ou dérivation de modèle il emploie en faisant ses calculs de décompression. Il y a une gamme surprenante dans les modèles, du conservateur au libéral, et ces différences peuvent ne pas être évidentes à première vue. Par exemple, un ordinateur peut établir des limites prudentes pour une plongée initiale mais des limites libérales pour la plongée répétitive. Il est préférable d'en apprendre assez sur les différents modèles disponibles et les dérivations avant de choisir un ordinateur de plongée, donc vous êtes sûr de choisir celui qui est compatible avec votre propre niveau de tolérance au risque. Choisir un purement basé sur la familiarité peut ne pas être la meilleure stratégie. Même si vous avez eu de bons résultats sur les plongées précédentes avec un ordinateur, il ne garantit pas que ce soit le meilleur pour votre plongée future. Accumuler les connaissances exige de l'engagement, mais une planification éclairée pour sa sécurité afin de ne pas avoir d’accident de décompression devrait être une préoccupation majeure. Activer et activer Ne pas allumer votre ordinateur de plongée (ou le prendre avec vous sur une plongée) peut sembler une blague, mais cela arrive et peut créer de vrais problèmes. Aucun ordinateur ne peut prendre en compte le profil d'exposition d'une plongée précédente s'il n'y était pas. Et tout modèle de décompression est invalide à moins que vous commenciez à l'utiliser quand vous n’avez pas d’azote accumule de toutes les plongées précédentes. Si vous oubliez de prendre votre ordinateur avec vous sur une plongée au début d'une série répétitive, vous êtes alors restreint à l'utilisation de tables pour la durée de cette série (en supposant que vous êtes capable de calculer manuellement l'exposition de la plongée non surveillée). Et ne pensé même pas à accrocher votre ordinateur sur une ligne descendante pendant un intervalle de surface dans un effort de compenser pour l'avoir oublié sur une plongée précédente; Il peut y avoir des histoires à ce sujet, mais ce n'est pas une pratique responsable. Utilisez-le correctement La seule personne qui n'a pas à se soucier de prendre un ordinateur de plongée à chaque plongée est celui qui l'utilise uniquement comme un enregistreur de données - c'est-à-dire, seulement pour enregistrer des informations de temps et de profondeur au lieu de calculer les profils de décompression. N'oubliez pas toutefois que l'utilisation de votre ordinateur simplement pour enregistrer vos données de temps et de profondeur signifie que vous devez toujours planifier toutes vos plongées à l'aide de tables de plongée et devez recalculer votre statut de groupe répétitif par la suite, selon le cas. Vous ne pouvez pas vous déplacer dans et hors de compter sur les calculs de décompression de votre ordinateur, sauf si elle a enregistré tous vos profils d'exposition. Rappelez-vous ses limites Les ordinateurs de plongée sont merveilleux pour effectuer des calculs mathématiques programmés, mais ils sont aveugles aux nombreux points de vue que vous pouvez avoir avant, pendant et entre vos plongées. Par exemple, votre ordinateur de plongée ne sait rien de votre état de santé personnel, de votre niveau de condition physique ou de votre susceptibilité individuelle au stress de décompression. Il ne sait pas non plus sur votre stress thermique ou les efforts physiques pendant ou entre les plongées. Le fait que de nombreux ordinateurs de plongée affichent la température de l'eau peut suggérer que le stress thermique est pris en compte dans les algorithmes de l'appareil. Cependant, une lecture de la température de l'eau ne fournit aucune information utile concernant les contraintes thermiques, puisque le plongeur portant l'appareil peut porter quoi que ce soit d'un maillot de bain à une combinaison sans capuchon à une combinaison étanche d'eau froide avec une capuche, des gants et de l'eau froide sous-vêtements. Plus important encore, il n'est pas encore possible de calculer directement l'impact des différences d'état thermique pendant les différentes parties d'une plongée, même si l'ordinateur était capable de mesurer la température du cœur et la température de la peau du plongeur dans les points clés. Nous savons que le fait d'être au chaud (plutôt que froid ou froid) pendant la phase de compression et de fond d'une plongée favorise l'absorption de gaz inerte (non optimal) et que le fait d'être au chaud pendant la phase de décompression favorise l'élimination (optimale). Bien que peu pratique pour le plongeur qui aime le confort, la sécurité de décompression est optimisée en étant neutre ou froid pendant la phase d'absorption de gaz inerte de descente et de temps de fond et chaud pendant la phase d'élimination de gaz inerte de montée. Bien que le concept des changements thermiques sur le stress de décompression soit clair, nous sommes encore à des années d'être en mesure de quantifier les effets réels de ces facteurs à des fins de planification de la plongée. De même, alors que certains ordinateurs sont capables de suivre la consommation de gaz, nous avons beaucoup à apprendre avant que cette information puisse être intégrée de manière significative dans les modèles de décompression. Les variations dans la consommation d'air peuvent refléter des différences dans la profondeur d'une plongée ou dans l'expérience du plongeur, le niveau d'anxiété ou le degré d'effort physique. Le résultat final est que l'interprétation de l'impact physiologique précis des interactions entre ces divers facteurs est extrêmement difficile, nécessitant une pratique réfléchie par les plongeurs. Suivez les lectures de votre ordinateur Les plongeurs doivent faire attention à leurs ordinateurs de plongée si l'information fournie doit être d'une quelconque utilité. Soyez conscient que le biais de confirmation peut favoriser un comportement risqué. Ne pas avoir eu de problèmes bien que être au limite d’une exposition risquée une fois, deux fois ou même plusieurs fois peut éventuellement vous rattraper. Il peut ne pas être vraiment sûr pour vous ou pour un partenaire qui pourrait avoir un degré plus élevé de susceptibilité au stress de décompression. Ceux qui souhaitent s'inquiéter moins de leur exposition auront plus de tranquillité d'esprit s'ils choisissent un ordinateur qui emploie un modèle de décompression extrêmement conservateur. Il est également important de faire attention à votre ordinateur de plongée. Si vous faites de la plongée avec un groupe, n'oubliez pas qu'il peut y avoir une grande variabilité dans les conseils fournis par différents ordinateurs ou ordinateurs avec différents paramètres sélectionnés par l'utilisateur. Cela signifie qu'il y a un avantage considérable de plongée avec d'autres qui utilisent un ordinateur avec un modèle de décompression similaire et les paramètres, parce que si les écarts modestes se produisent, suivant la directive la plus conservatrice ne sera probablement pas terriblement lourde pour le groupe. Mais si les membres d'un groupe utilisent des ordinateurs de plongée avec des modèles sensiblement différents, et chaque plongeur souhaite suivre son propre dispositif, il peut conduire à une panne dans le système de copain. La meilleur utilisation est de toujours suivent l’ordinateur le plus conservateur. Ne pas compter sur aveuglement sur votre ordinateur Bien que tenir compte de votre ordinateur est important, ne prenez pas ses conseils sans y penser. Le même profil peut parfois être conduit sans problème encore et encore, jusqu'à la plongée où il ne se révèle pas sûr. Les plongeurs essaient souvent de blâmer un facteur spécifique, tel que la déshydratation, pour le développement des symptômes à la suite d'une plongée, mais pas une autre. Cette approche n'est pas productive. La plage de variables en jeu pendant une plongée est rarement identique et il existe un élément probabiliste au risque de décompression, c'est-à-dire que le hasard peut jouer un rôle dans la manifestation de DCS. La meilleure approche est d'éviter les extrêmes de la résignation fataliste ou concentrer soi-disant sur une seule balle magique supposée. Il y a beaucoup, beaucoup de petites étapes que vous pouvez prendre pour rendre toute plongée plus sûre. Le plus important est de rester dans un profil de profondeur de temps raisonnablement conservateur et d'ajouter des arrêts de sécurité à chaque plongée. D'autres mesures importantes sont de minimiser votre intensité d'exercice et éviter la surchauffe au cours de la phase d'absorption de gaz de votre plongée, de choisir le bon gaz de respiration, de pratiquer suffisamment que vous êtes en mesure de contrôler parfaitement votre flottabilité, de rester bien reposé et bien- Hydraté, choisissez des paramètres plus conservateurs et réglables par l'utilisateur sur l'ordinateur et plongez avec un partenaire qui a des objectifs similaires et suit des pratiques similaires. Ajouter de petites marges de sécurité à chaque étape peut aider à fournir un coussin de sécurité confortable. Les ordinateurs de plongée sont des outils puissants, mais une bonne connaissance de la physiologie de la plongée, un bon conditionnement physique et l'adhésion à des pratiques réfléchies offrent la meilleure protection pour les plongeurs. Le garder avec vous Si vous développez des symptômes DCS, vous devriez garder votre ordinateur avec vous quand vous allez pour l'évaluation médicale. Certaines installations peuvent avoir la possibilité de télécharger ou d'examiner votre profil pour faciliter l'évaluation de votre dossier. Le personnel médical appréciera sûrement de voir la confirmation de votre description des événements qui ont précipité vos symptômes. http://scubadiverlife.com/oxygen-scuba-diving-science-made-simple/
La plupart des plongeurs aspirent à une bonne consommation d'air, mais ne comprennent pas vraiment ce qui nous rend plus ou moins efficaces sous l'eau? Ici, nous vous donnerons un aperçu de la science derrière l'oxygène de la plongée sous-marine. Nous vous fournirons également quelques suggestions simples sur la façon dont vous pouvez adapter votre plongée et votre mode de vie pour vous rendre plus efficace sous l'eau. L'oxygène est un gaz commun et facile à prendre pour acquis. Mais il détient la clé de l'efficacité métabolique. Oxygène et plongée sous-marine En tant que plongeurs, nous connaissons généralement les applications plus larges de l'oxygène. Il constitue 21 pour cent de l'air, mais nous pouvons changer la concentration dans notre cylindre pour du nitrox ou trimix pour certaine plongée. En cas de suspicion d’accident de décompression, nous administrons 100% d'oxygène. Nous l'utilisons également dans les chambres hyperbares pour aider les patients à dégager les bulles d'azote gazeux. Il peut être toxique à des pressions supérieures à 1,6 ATA ou à une exposition chronique, affectant particulièrement l'œil, les nerfs et les poumons. En fait, ce gaz ordinaire fait un voyage extraordinaire dans notre corps. Il provient de réactions nucléaires lors d'explosions d'étoiles. Notre planète est absolument pleine de choses et la plupart de la vie sur terre est complètement dépendant de lui. Les plantes exploitent l'énergie du soleil pour produire de l'oxygène dans un processus appelé photosynthèse. Nos corps sont intrinsèquement conçus pour l'extraire de l'air et de le prendre à nos cellules, qui l'utilisent pour créer de l'énergie. Lorsque nous expirons, nous éliminons les déchets métaboliques - le monoxyde de carbone et l'eau. Les plantes réutilisent ces déchets pour recréer de l'oxygène. Obstacles à une bonne consommation d'air La Plongée pose quelques obstacles quand il s'agit de ce processus. La résistance dans nos voies respiratoires augmente lorsque nous respirons à travers les tuyaux longs et aussi avec la profondeur. L'oxygène est plus dense que l'azote, donc ceux qui plongent au nitrox ressente plus l’effet. L'hélium, d'autre part, est moins dense et nous l'utilisons pour surmonter ce problème. Il est éminemment plus cher, principalement les plongeurs tec et plongeurs commerciaux l'utiliser. Vous aidez à réduire cette résistance en utilisant des flexibles de longueur appropriée et en vous assurant que l'air circule sans à-coups dans votre régulateur. L’utilité d’avoir un bon positionnement (trim) dans l’eau Avec un kit de plongée standard, la plongée en position tête haute rendra plus difficile la respiration. C'est parce que les poumons sont plus bas que la bouche, ce qui signifie qu'ils sont à une pression plus élevée. Cela réduit la capacité du plongeur à prendre une pleine inspiration ou une expiration complète. C'est l'une des nombreuses raisons pour lesquelles le bon trim positionnement est important. Le filtre dans les poumons, à l’endroit où l'oxygène passe aux travers, est sous tension à cause de la pression de l'eau qui fait que le sang est redistribué en périphérie dans la poitrine. Bien que nous ne puissions pas changer cela lorsque nous plongeons, nous pouvons aider à protéger nos poumons en ne fumant pas, ce qui durcit et détruit ce filtre fin. Une molécule à base de fer appelée hémoglobine transporte de l'oxygène. Les carences en fer réduisent la capacité de votre corps à transporter l'oxygène. Manger des aliments riches en fer tels que les légumes verts, les lentilles et les pois chiches aidera à maintenir ces niveaux stables. Texte ajouté (Vous êtes fumeur ? Vous aimez plonger ? Alors lisez ces quelques lignes qui font réfléchir sur les accidents auxquels s'expose un plongeur (ou une plongeuse) en fumant avant de plonger. Deux composants de la cigarette sont nocifs pour le plongeur : la nicotine et le monoxyde de carbone. La nicotine provoque une contraction des petites artères, ce qui diminue de façon importante l'afflux sanguin dans l'organisme. Cela est particulièrement net au niveau de la peau et des extrémités (doigts et orteils). Quand l'effet de la nicotine s'estompe, les artères reviennent à la normale. Cependant, ce va et vient est tout à fait défavorable à l'élimination de l'azote et devient donc un facteur important de l'accident de décompression. Il faut savoir que la nicotine agit à deux niveaux : à long terme, avec une intoxication due à une longue tabagie et à court terme, avec la "dernière cigarette fumée". C'est surtout elle qui va nous intéresser ici et qui met en danger d'accident de décompression dit "immérité". D'où l'extrême importance de ne pas fumer dans les 8 à 12 heures précédant une plongée, c'est à dire le temps nécessaire pour éliminer cette "petite dernière". Un fumeur est plus exposé aux accidents de décompression, même s'il respecte à la lettre les données de son ordinateur de plongée ou de ses tables ! Et un non-fumeur (absorbant la fumée d'un fumeur proche de lui) réagira encore plus violemment. La nicotine diminue l'irrigation sanguine dans le cœur, qui s'adapte alors moins bien à l'effort : le corps se fatigue alors plus vite. Rajoutons encore un danger supplémentaire : l'association nicotine et monoxyde de carbone rend le sang un peu plus coagulable, ce qui peut favoriser l'obstruction des petits vaisseaux et donc encore la survenue d'accidents de décompression. Plus on fume, plus l'hémoglobine du sang est chargée en monoxyde de carbone. Or, l'hémoglobine sert au transfert de l'oxygène. Et le monoxyde de carbone (CO) gène le mécanisme de ce transfert car il prend la place de l'oxygène vital pour l'organisme. Imaginez qu'un train circule de nos poumons à nos cellules (c'est l'hémoglobine du sang). Normalement, ce train embarque des passagers "Oxygène" à la station "Poumons", qui descendent habituellement à la station "Cellules" et qui sont remplacés à cet endroit par des passagers "Gaz carbonique". Si des passagers squatteurs à la mine patibulaire (les molécules de CO), montent dès le départ du train en occupant la majorité des sièges, l'oxygène n'a plus de place. Le train transportera alors ces passagers "CO" jusqu'aux cellules ! Or ces passagers sont toxiques pour les cellules. Il a été démontré que fumer trente cigarettes par jour provoque l'occupation de 15 % de l'hémoglobine dans le sang, c'est à dire 15 % des sièges du train. D'accord, ceci n'a pas vraiment d'effets dans la vie de tous les jours, mais lors d'un exercice physique et donc de la plongée, les effets peuvent être désastreux. Le traitement de l'intoxication au monoxyde de carbone (CO) se fait en caisson hyperbare. En effet, les passagers "Gaz carbonique" sont coriaces et s'accrochent aux sièges (c'est à dire à l'hémoglobine). Le seul moyen de les détacher est d'amener un afflux massif de passagers "Oxygène" pour leur casser la figure. Ceci n'est évidemment pas réalisé en plongée car aux profondeurs habituelles, les molécules ne sont jamais assez nombreuses pour chasser le monoxyde de carbone. Donc, à l'évidence, être un fumeur chronique et fumer avant la plongée expose à une intoxication au monoxyde de carbone, qui augmente de plus en plus avec la profondeur. A entraînement et plongée semblable, un fumeur videra sa bouteille bien plus vite. De même, le tabac irrite les voies aériennes supérieures. À force, les différents conduits deviennent moins souples et enflammés. Donc leur diamètre rétrécit et leurs sécrétions sont plus abondantes. En conséquence, équilibrer les oreilles peut devenir plus difficile. Le même phénomène se passe au niveau de certaines ramifications des voies aériennes dans les poumons (bronchioles). L'air sous pression, à la descente, passe relativement facilement, mais il peut rester bloqué à la remontée puis en se dilatant, provoquer une surpression pulmonaire "locale", même si la vitesse de remontée est respectée. On constate donc que le tabac peut être causes d'accidents de plongée. On peut néanmoins limiter certains risques (entre autre celui de la "cigarette avant la plongée") par des mesures simples :
Les rigueurs physiques de la plongée signifient que nous avons besoin de niveaux plus élevés d'oxygène pour répondre aux exigences de nos tissus. Garder la forme est une solution évidente. L'Organisation mondiale de la Santé recommande 150 minutes d'exercice aérobie modéré par semaine, plus deux séances de poids. L'exercice permettra non seulement d'améliorer votre santé cardiovasculaire et donc votre efficacité de plongée, mais aussi d'améliorer votre bien-être général et de vous garder plus détendu sous l'eau. L'énergie que nous utilisons pour garder au chaud sous l'eau augmente notre besoin en oxygène, alors assurez-vous de porter une protection d'exposition adéquate. Il n'y a pas de trophée pour porter un shorty un jour d'hiver. En bref, l'oxygène a un rôle exquisément complexe dans notre corps et sur notre planète. Puisque nous ne sommes pas naturellement conçus pour respirer l'oxygène en profondeur, la plongée rend le voyage des étoiles à nos cellules encore plus ardues. Bien qu'il y ait plusieurs obstacles inévitables, nous pouvons prendre en charge ces facteurs et bien d'autres facteurs liés à la plongée et au mode de vie pour aider l'oxygène en cours de route. Remise en forme pour se préparer pour la saison : Natation
N.B. vous faites ce que vous pouvez en commençant. Exemple de séance d'entraînement :
N’oubliez pas de vous étirez après la séance pour réduire les risques de crampes musculaires. REMARQUE: Afin d'éviter un risque accru de maladie de décompression, DAN® recommande aux plongeurs d'éviter un exercice intense pendant 24 heures après avoir fait une plongée. Au cours de votre examen physique annuel ou après tout changement dans votre état de santé, consultez votre médecin pour vous assurer d'avoir l'autorisation médicale d'exercer la plongée sous-marine. A chaque semaine je vais mettre un petit quizz sur la plongée sous marine.
Je sais que il est en anglais j en suis désolé, Voici le liens pour le premier quizz http://www.alertdiver.com/Do_You_Know_DAN http://www.alertdiver.com/Do_You_Know_DAN Quand un Selfie sous-marin tourne mal - leçons pour la vie.
Clicker sur le Liens version anglaise Traduction SAUVEZ VOTRE SELFIE Bill avait perdu de vue son copain de plongée, mais il ne s'en inquiétait pas. Il avait finalement atteint la soute de la cargaison de l'épave qu'ils plongent, et il a été attirée pour prendre un selfie pour prouver qu'il avait été là. Bill connaissait seulement une autre personne qui avait été dans cette partie de l'épave, et ce plongeur était une légende. Bill voulait aussi être une légende. Il a eu la photo, mais il y avait un problème: Il n'était pas sûr de comment revenir à la surface. LE PLONGEUR À 33 ans, Bill était certifié pour une décennie et a essayé de plonger quelques fois par an. Il n'avait pas suivi de formation avancée, mais il lisait constamment des articles sur la plongée et les explorations. Il rêvait de plonger aux côtés de ces aventuriers et était certain qu'il pouvait gagner sa place dans une expédition en prouvant qu'il avait «été là, fait cela.» Il était en général en bonne santé. LA PLONGEE Le matin s'est levé nuageux et frais avec une mers légères, mais le bateau était assez stable pour prendre les vagues. Il a fallu un peu plus d'une heure pour atteindre le site de plongée, et Bill et son copain, Tony, étaient la première équipe préparée et prête à entrer dans l'eau lorsque l'équipage du bateau leur a donné le feu vert. L'épave reposait dans 120 pieds d'eau, mais Bill et Tony n'avaient aucune intention de descendre tout le chemin jusqu'au sable. Ils ont prévu de pénétrer l'épave d'une ouverture sur le pont principal et de faire leur chemin dans la prise de charge intérieure célèbre. Pour eux, c'était comme arriver au mont Everest. Ils allaient devoir se déplacer rapidement. Ils utilisaient tous deux une installation de plongée récréative standard, avec un seul réservoir d'aluminium de 80 pieds cubes chacun. En raison du temps de fond limité, ils prévoyaient entrer, prendre leurs selfies, et revenir à la surface. ...... L'ACCIDENT La plongée a commencé sans problèmes. Après une brève vérification pré plongée, Bill et Tony descendirent rapidement le long de la chaîne de l’ancre, faisant de leur mieux pour contrôler leur respiration. Ils voulaient conserver leur air afin qu'ils aient eu assez de temps pour obtenir leurs photos et revenir à la surface. Ils atteignirent l'épave et trouvèrent rapidement l'entrée du passage intérieur qui les conduirait vers la soute. Avec un OK final, ils ont décollé à l'intérieur de l'épave. Bill était en tête. Au bout de quelques instants, Tony perdit Bill de vue. Tony s'était arrêté pour regarder un passage, et quand il regarda en arrière, Bill était parti. Tony a cherché pendant quelques minutes, mais il n'était pas disposé à explorer l'épave par lui-même, alors il s'est retourné et a fait son chemin de retour hors du navire. Il attendit quelques minutes près du passage pour Bill, puis fit son ascension. Tony surveillait sa montre à la surface. Quand Bill ne montait pas dans le temps qu'ils avaient planifié, Tony a alerté le capitaine qu'il pourrait y avoir un problème. Les plongeurs de récupération ont été appelés pour aider à la recherche de Bill. Ils ont finalement trouvé son corps dans la cale à cargaison. Son réservoir était vide. UNE ANALYSE La cause officielle de décès de Bill a été la noyade en raison de l'insuffisance de l'air, mais la cause de l'accident a commencé plusieurs étapes plus tôt, avant que les plongeurs n’aient touché l'eau. La première erreur de Bill et Tony a été de planifier une plongée de pénétration sans suffisamment de gaz respiratoire pour le faire. Une règle de base de la planification d'une plongée comme celle-ci est d'utiliser la règle des tiers: Un tiers de votre air est pour la pénétration; Le deuxième tiers est pour votre sortie; Le dernier tiers est réservé en cas de problème. Dans un cylindre de plongée typique de 3 000 psi, cela signifie faire une plongée lorsque le manomètre submersible lit 2 000 psi - au minimum. La deuxième erreur était de négliger d'utiliser n'importe quelle sorte de ligne pour les aider à trouver leur chemin de retour hors du navire. Aucun des plongeurs n'a suivi de formation officielle dans la pénétration d'une épave ou dans des environnements aériens. Bien que Bill ait lu avidement sur les aventures de plongée, il ne savait pas laisser un chemin clair pour le guider hors du navire de la même manière qu'il est entré. La troisième erreur n'était pas d'avorter la plongée quand ils ont été séparés à l'intérieur de l'épave. Les plongeurs en eau douce de base savent que lorsque les copains deviennent séparés, ils ne doivent pas chercher plus d'une minute et se dirigent vers la surface pour se réunir. S'il n'est pas pratique de reprendre la plongée après la reconnexion en raison du temps ou de la profondeur, il est temps d'appeler la plongée. Nous ne saurons jamais pourquoi Bill n'a pas interrompu la plongée quand il a réalisé que Tony ne le suivait plus. Cependant, il est facile d'imaginer que Bill était tellement concentré sur son but et obtenir un selfie qu'il n'a même pas envisagé d'aller chercher son copain. Obtenir la photo était sa principale préoccupation. Il ya ceux qui ont pu faire cette plongée en toute sécurité sans un copain, mais ces gens ont une formation spécialisée en techniques de plongée en solo et de transporter plus d'air pour compléter avec succès la plongée. Même s'ils étaient avec un copain, ces plongeurs auraient également eu un plan dans le cas où ils ont été séparés sous l'eau. Bill et Tony n'étaient pas ces plongeurs. Chaque fois qu'un but devient si important que vous êtes prêt à mettre de côté les procédures et les techniques de sécurité acceptées - ou cela vous rend peu disposé à reculer et à essayer plus tard - vous mettez vous-même et votre copain à risque. ENSEIGNEMENTS POUR LA VIE 1 Planifiez en conséquence Planifiez la plongée que vous faites ou faites une plongée pour laquelle vous êtes préparé. Entrer dans un environnement aérien sans l'équipement approprié est un excellent moyen de se mettre en difficulté. 2 Apprenez les compétences Consultez la formation requise pour la plongée dans les environnements aériens avant de tenter une pénétration. 3 Utilisez une ligne de sécurité Chaque fois que vous effectuez une plongée de pénétration, utilisez une ligne de sécurité attachée à l'extérieur afin que vous puissiez facilement trouver votre chemin. 4 Mind Your Buddy Conviendrez avec votre copain sur un plan d'action si vous devenez séparés. Typiquement, cela signifie chercher sur le fond pendant une minute, puis faire une montée contrôlée pour rencontrer à la surface. 5 Ignorer votre ego Ne laissez pas les aspirations de grandeur vous faire prendre des risques inutiles. Vous pouvez toujours faire une autre tentative - tant que vous survivre à la première. L'importance de vérifier ses habiletés de plongée sous-marine et plongées de révisions
http://scubadiverlife.com/importance-check-dives-scuba-reviews/ Peut-être que vous n'avez pas plongé depuis un moment, mais vous êtes sur le point de vous submerger à nouveau. Devriez-vous faire une plongée de vérification ou de participer à une plongée de révision? "Que diriez-vous d'une plongée aujourd'hui, Lucy?" «Nous sommes en lune de miel. Cela semble trop énergique. "Eh bien c'est agréable de se détendre mais nous ne pouvons pas traîner autour de l'hôtel pendant deux semaines a ne rien faire. Nous avons nos cartes de plongées dans la chambre et il y a un centre de plongée sur la plage. Pourquoi ne pas aller vérifier? "Dit Chris. La voix joyeuse derrière le comptoir du centre de plongée les salua en entrant. - Vous plongez aujourd'hui? Nous avons un bateau qui sort dans 30 minutes, pourquoi ne pas vous joindre à nous? " Le centre de plongée avait l'air moderne, avec une propre réception et un magasin plein de nouveaux équipements, des livres et des combinaisons. Un certain nombre d'autocollants, de logos et de certificats muraux ornaient l'entrée. La femme compteur portait une chemise repassée croustillante avec un badge doré et brillant. "Nous n'avons pas plongé en quatre ans, donc nous sommes un peu rouillés, et ma femme n'est qu'un débutant", a déclaré Chris. «Nous aimerions avoir une certaine pratique dans les eaux peu profondes d'abord, si ça va. - Ne t'inquiète pas, dit la femme derrière le comptoir. «L'eau ici est chaude et claire, et il y a un tres bon guide sur le bateau, avec quelques plongeurs très expérimentés. Je suis sûr que vous serez entre de bonnes mains. Prends un siège et je t'apporterai du matériel. Quels sont vos pieds? Chris et Lucy regardèrent le jeune couple en face de la ligne, puis se tournèrent l'un vers l'autre. "Sortons d'ici. Il y a un autre endroit juste en bas de la plage. " Le prochain centre de plongée avait l'air bien aussi - chaleureux, sympathique et occupé. Les instructeurs étaient assis autour avec des étudiants. Les invités de plongée buvaient du café et bavardaient dans une grande zone ombragée. "Comment puis-je vous aider tous les deux?" Demanda la femme amicale derrière le comptoir. "Nous aimerions plonger, mais nous n'avons pas beaucoup d'expérience et ça fait longtemps," a dit Lucy. "Nous n'avons pas vraiment l'intention d'aller plongée, mais l'eau semble si bonne." «Eh bien, vous pouvez faire aussi peu ou autant que vous le souhaitez», dit-elle. «Nous sommes ouverts tous les jours et nous avons des sites de plongée pour tous les niveaux d'expérience. Quand avez-vous fait vos dernières plongées? - Il y a deux ans et demi, j'ai peur, dit Chris. «Nous ne sommes que des étudiants en eau libre. J'ai 20 plongées et Lucy en a six. Nous n'avons jamais vraiment fait beaucoup après notre cours. " Dans ce scénario, l'employé de la boutique a dirigé le couple à quelques sièges, où ils ont rempli des questionnaires médicaux. «En quelques minutes, les plongeurs réguliers partiront, puis nous discuterons et organiserons une piscine ou une plongée en milieu peu profond pour que vous reveniez tous les deux à niveau», a-t-elle déclaré. Garder les compétences de plongée sous-marine Une licence de plongée sous-marine est pour la vie. En fait, elle durera plus longtemps que votre carte de plastique non biodégradable. La certification Scuba n'expire jamais; Aucune police de plongée ne la suspendra, ne l'annulera pas ou ne vous pénalisera pas. Votre agence de formation a émis votre C-carte après plusieurs jours de surveillance étroite, le développement des compétences et la familiarité qui accompagne la plongée quotidienne continue. Vous perdrez cette connexion après plusieurs mois d'absence en milieu aquatique, et l'endroit où se réunir avec elle n'est pas en eau profonde, les courants rapides ou dans le bleu sur une dérive de plongée. Beaucoup de gens oublient de petits extraits d'informations de leur formation initiale - les conseils utiles, les bouts que vous n'avez pas écoutés tout en appliquant de l’écran solaire à travers votre peau salée. C'était le moment où votre instructeur vous a rappelé de vous inscrire pour un examen de plongée ou de plongée vérifier si vous aviez un long intervalle entre les plongées. Si vous avez seulement un jour ou deux pour la plongée, il est naturel que vous ne vouliez pas passer du temps dans une piscine ou la natation autour d'une baie de sable. Mais vérifier les plongées ou les examens des compétences sont essentiels. Ce ne sont pas des peines ou des peines de service communautaire. Ce ne sont pas seulement des mesures de sécurité que vous devriez interpréter comme des règlements dominants, obstruant votre chemin vers la jouissance. Lorsqu'un plongeur inexpérimenté ou un plongeur non-pratiquant entre dans un environnement difficile, tout le monde court un risque. Pourquoi effectuer un examen de plongée ou de plongée sous-marine? Il y a un certain nombre de raisons, vous devriez toujours faire une plongée de contrôle ou prendre un cours de plongée-revue. Parmi eux: Les séances de pratique exposeront les faiblesses afin que vous puissiez y répondre. Ils sont exécutés dans un environnement indulgent. Ils contiennent une sélection de compétences pour vous réintroduire à la plongée et vous donner les ressources pour gérer les problèmes et les urgences. Pratiquer la correction correcte, la compensation du masque, la récupération du régulateur et les exercices clairs, hors-air, le contrôle de la flottabilité et le vol stationnaire, la surveillance de vos instruments et la signalisation aideront tous à ajouter le polonais à votre plongée. Vous pouvez également demander des compétences supplémentaires - c'est votre plongée, alors demandez plus d'aide si vous en avez envie. Vous vous familiariserez avec le sentiment d'être sous l'eau et de savoir comment votre équipement de plongée fonctionne. Un examen de plongée ou de plongée sous-marine peut durer plus d'une heure. Mis à part la pratique des compétences, vous pouvez nager autour et profiter de la sensation de plongée. L'expérience est consignée dans votre journal de bord. Vous n'aurez pas besoin d'une autre plongée de chasse si vous plongez à nouveau dans un proche avenir. Sur votre première plongée pittoresque après vous vous détendre plus. Votre consommation d'air tombera; Vos plongées dureront plus longtemps; Et vous vous sentirez plus à l'aise dans des conditions difficiles. Vous serez un atout pour votre équipe de piqué de plongée et de plongée au lieu d'une responsabilité potentielle. Revenir à Chris and Lucy Pour revenir à notre scénario, Chris et Lucy savaient ce dont ils avaient besoin et le centre de plongée. Ils ont pris une approche en deux étapes - une heure dans la piscine suivie d'une heure dans la mer. "Nous avons eu 62 minutes sous l'eau, c'est un record", a déclaré Chris. "D'accord, je suis accro de nouveau," dit Lucy. "On dirait que notre lune de miel va être des vacances de plongée après tout." Pendant que le couple a planifié leur jour suivant sur le bateau de plongée, ils ont vu un bateau de secours de police accélérer vers la jetée avec ses lumières clignotant et sirène hurlant. "Je me demande ce que c'est que ça?" Demanda un invité. - Nous en avons entendu parler à la radio, dit le divemaster. "C'était une blessure de décompression. Un couple boulonné de la profondeur pendant leur plongée. Pas de détails mais ils sont de l'endroit en bas de la plage. Ce n'est pas la première fois. Voici le lien: www.scubadiving.com/training/lessons-life/lessons-life-lack-training-prep-spells-doom?src=SOC&dom=fb Voici la traduction
Leçons Pour La Vie: Le Manque De Formation, De Préparation. Les amis de Dave ne croiraient jamais il est allé à plus de 200 pieds - il avait même emprunté un ordinateur pour qu'il puisse le prouver. Il pensait à ce sujet en souriant jusqu'à ce qu'il prenne un respire sur son régulateur et il n'y avait rien. LES PLONGEURS Dave venait de terminer sa certification de plongeur en eau libre deux semaines avant son 19e anniversaire - il rêvait de poursuivre la plongée comme une carrière. Il voulait continuer son chemin jusqu'à devenir un instructeur de plongée aussi rapidement que possible, et puis il voulait plonger dans le monde entier. Il a lu des magazines de plongées, regardé des émissions de télévision et lu des rapports en ligne d'aventures de plongée et des expéditions, la compilation d'une liste des plongées qu'il voulait faire. Ses copains Roy et Clarence avaient plongé un peu plus longtemps, de quelques mois. Ils avaient tous les deux un an de plus que Dave. LA PLONGEE L'air du matin était légèrement plus chaude que la température de l'eau qui était de 60 degrés F, mais le vent était calme et le soleil brillait quand le bateau est sorti. Lorsque le divemaster a expliqué qu'ils étaient ancrés à proximité d'une goutte profond avec des profondeurs tombant rapidement à 1000 pieds ou plus, chacun savait ce que l'autre pensait: Ils voulaient aller en profondeur. Le trio se prepara rapidement et entra dans l'eau avant tous les autres plongeurs.Ils ne voulaient pas que quelqu'un questionne leur plan pour faire une plongée profonde. Dès qu'ils étaient tous dans l'eau, ils ont commencé à nager vers le bas aussi rapidement que possible. Il n'y avait pas grand-chose à voir en dessous de 100 pieds, mais ils ont continué à pousser. Aucun d'entre eux n'a jamais été aussi profond avant. Ils ont finalement remonté vers le haut quand il a commencé à faire sombre. Dave regarda son ordinateur de plongée et il lu 227 pieds, mais il avait un peu de mal à se concentrer. Sa tête était floue. Les trois plongeurs ont sous-estimé les effets de la narcose à l'azote. Ils sont restés à cette profondeur moins d'une minute avant d'accepter de monter un peu, en espérant que les sentiments disparaîtraient. Ils ont remonté à 190 pieds et se sont stabilisés. L'ACCIDENT Lorsque Dave a tombé en panne l'air, il ne savait pas comment réagir au premier abord. Il était perplexe qu'il n'y avait rien qui sortait de son régulateur. .Rapidement, il regarda autour de lui et a trouvé Roy. Il a nagé vers son copain, en faisant le signal out-of-air qu'il venait de pratiquer au cours de sa formation de certification quelques semaines avant, un mouvement sabrant dans sa gorge. Roy a réalisé ce qui se passait et a donné a Dave sa source d'air de secours. Dès qu'ils ont eu situation sous contrôle et ont commencé à monter, Clarence a nagé vers eux. Il lui aussi en panne d’air. Dave a donné le régulateur octo à Clarence, puis il a nager vers la surface. Dave a fait une ascension libre à la surface de 170 pieds. Roy et Clarence ont rapidement nager derrière. En raison de leur alimentation en air limitée, la paire est monté directement sur la surface sans faire un arrêt de sécurité ou toute sorte de palier de décompression. Ils ont immédiatement vu que l'équipage de plongée du bateau était en train de sauver Dave. Il était inconscient et flottant à la surface. Les efforts de l'équipage pour ressusciter Dave ont échoué, et il a été déclaré mort plus tard à l'hôpital local. Analyses Ces plongeurs ont fait une série d'erreurs liées à la planification et à la préparation. Ils étaient inexpérimentés et mal équipés pour la plongée qu'ils essayaient. Ils avaient pas vraiment autre but que de "aller en profondeur», et aucune idée de ce qui arriverait à leur alimentation en air à cette profondeur. Il n'y a pas de police de plongée. Personne arrête les plongeurs de faire des choses stupides. Indépendamment des recommandations concernant les limites ou les lignes directrices de la profondeur en plongée loisirs sur la façon de se préparer pour des plongées profondes, on n'applique ces choses: ce sont des recommandations et des lignes directrices. Comme les plongeurs, nous devons prendre conscience, des décisions pour nous-mêmes. Ce que ces plongeurs ne pouvaient pas surmonter étaient les lois de la physique. Leur descente initiale était de près de 8 atmosphères de pression (absolue). Comme chaque plongeur débutant apprend, chaque atmosphère de pression réduit leur approvisionnement en gaz par la même fraction. En d'autres termes, à ces profondeurs, le réservoir en aluminium de 80 pieds cubes que chaque plongeur portait durerait un huitième de temps que si il était à la surface - moins, en fait, si l'on considère qu'ils travaillaient à nager vers le bas, excité et nerveux. Tout cela aurait augmenté leurs consommations de gaz. Ces plongeurs ont décidé à l'impulsion du moment de faire une plongée profonde et a établir un record de profondeur personnelle. Ils n’avaient jamais été formés sur les techniques appropriées. Ils ne comprenaient pas la narcose à l'azote ou la toxicité potentielle de gaz de l'air qu'ils respiraient. Ils ne savaient pas comment planifier les paliers de décompression, et ne possédaient pas l'approvisionnement en gaz suffisant avec eux ou suspendus au-dessous du bateau pour effectuer ces arrêts. Et pour cela, l'un d'entre eux a payé le prix ultime. L'autopsie de Dave n'a pas été divulgue, donc nous ne savons pas la cause réelle de la mort. Il est probable qu'il se noya. Sans une alimentation en air depuis si longtemps, il a probablement étouffé et a perdu conscience. Les deux autres plongeurs en sont sorti vivant. Ils ont tous deux retourne à l'eau pour une "recompression dans l'eau" non précisé mais il est peu probable que cela apporte un bénéfice. Ils sont fait ceci quelques minutes pendant que l'équipage a tenté la RCR sur Dave et a rappelé les autres plongeurs. Une fois que le bateau était prêt à partir, ils ont dû refaire surface. Clarence a développé des symptômes de la maladie de décompression sur le bateau. Il a été traité à plusieurs reprises à une chambre hyperbare, mais a encore des symptômes résiduels à ce jour. Clarence n'a pas reçu de l'oxygène de premiers secours à la surface - la norme de soins pour une blessure liée à la plongée – après que les symptômes soit développés. Roy n'a jamais montré de signes ou de symptômes de la maladie de décompression. Nous ne savons pas pourquoi Clarence a pris un coup sévère tandis que Roy est parti sans une égratignure, .les tables de plongée et les algorithmes informatiques sont des modèles mathématiques de décompression trempé avec le conservatisme. On ne sait pas ce qui se passe à l'intérieur du corps d'un plongeur à un moment donné. Que Roy ait échappé au mal ne signifie pas qu'il est moins assujetti à la maladie de décompression. Un autre jour, il aurait pu être le seul à prendre le coup. Leçons pour la vie Plongée dans les limites de loisirs. Plonger au - delà de ces limites exigent une formation supplémentaire, des équipements redondants et des fournitures de gaz supplémentaires. Planifiez votre plongée. Plongées Même dans les limites de loisirs doivent être planifiés de manière appropriée. Un objectif vague pour "aller en profondeur" n’est pas un plan. Cherchez la formation. Avant de vous envisagez de faire une plongée qui vous emmène au - delà des limites de loisirs, cherchent une formation et une expérience supplémentaire. Connaître les procédures d'urgence. Cherchez la formation en premiers soins de plongée afin que vous puissiez aider à une situation d'urgence. Qu en pensez vous? http://www.sportdiver.com/best-dive-knives-2016?%3Fsrc=SOC&dom=fb#page-2 Bonne article cependant, de plus en plus les parcs marins n autorisent pas les couteaux de plongées , les ciseaux et les coupe ligne sont autorisés. Cela vous est-il arrivé? Si oui A quel endroit?
http://scubadiverlife.com/one-step-method-becoming-better-diver/
Commentaires s.v.p. merci https://www.diversalertnetwork.org/diving-incidents/freeflowing-reg-leads-to-oog-ascent
Voici la traduction. L'épave était à 127 pieds (38 msw ) de profondeur . Les courants étaient très forts ce jour-là, avec des températures de l'eau dans le F 80 (C plus haut de 20) . Nous descendîmes en binômes ; mon partenaire et moi avions 3000 psis (207 bar) d’air. Pendant la plongée, nous avons exploré le navire et compartiments, j'ai vérifié ma jauge et avait 1500 psi (~ 100 bar) quand nous étions à l'extrême fa l’autre bout de notre corde de surface. Comme nous avons commencé notre nage vers la corde, je regardais ma jauge et a remarqué qu'il avait chuté en dessous de 1000 psi ( 70 bar) , je l'ai fait une vérification rapide et a trouvé ma source d'air de secours soufflant de l'air . J'ai essayé de le faire pour arrêter sans succès. Je laisse mon partenaire connaître et je respirais de ma source d'air de secours pour tirer le meilleur de l'air que je perdais. A 90 pieds ( 27 msw ) Je suis tombe en panne d'air , mon partenaire m'a donné son octo et nous avons continué notre ascension . Lors de notre arrêt de sécurité, nous avions 500 psi ( 35 bar ) donc nous avons été contraints de réduire notre arrêt de sécurité pour faire surface. Nous étions contents d'être de retour sur le bateau . Que serait vos recommandations ? http://www.sportdiver.com/learn-to-dive/article/healthy-diver-why-divers-panic-and-how-to-deal-it
Article traduit avec commentaires ajoutés. Les plongeurs et plongeuses par nature ont tendance à être calme. Sinon, comment pourriez-vous naviguer sur la mer, se jeter à l’eau avec un cylindre, et de plonger dans les profondeurs de l’océan bleu ? Pourtant, demeurant au sein de chacun de nous dors un bouton de panique qui peut se réveiller quand on s'y attend le moins, en nous envoyant dans la zone de danger sans avertissement. Le fait est d'un cinquième de tous les décès de plongeur peut être directement attribué à la panique, selon le Centre National de données d’accidents sous-marine. Un autre 22 pour cent des décès reste un mystère. Vu le nombre de plongeurs qui sont récupérés avec des équipements fonctionnels, beaucoup d’air, et leurs ceintures de plombs fermement en place , la plupart des experts croient que la mort en raison de la panique est beaucoup plus fréquent que rapporté . La panique peut tuer dans un certain nombre de façons. Respiration rapide et superficielle peut provoquer une hypoxie et une accumulation de dioxyde de carbone, entraînant le plongeur à agir de manière irrationnelle, la respiration rapide, avec la panique peut nous faire expulser le régulateur de notre bouche ou remonter en bouchon à la surface. Ces réponses de panique peuvent vous faire perdre connaissance, ou même avoir une crise cardiaque si vous avez un cœur faible. Paniquer entrave également votre capacité à résoudre les problèmes et arriver à la sécurité lors de vos des dysfonctionnements d’équipement. Voici comment garder votre sang-froid. La pratique peut rétablir l’équilibre. Toujours faire une plongée de pratique avant de partir en voyage de plongée. Votre wet suit correspond toujours (il y a rien de mieux comme de ne pas être capable de respirer pour induire l’anxiété), l'équipement fonctionne toujours et vos compétences sont à jour. Pratiquer le partage d'air et le vidange de votre masque et toutes les compétences que vous n’avez pas faites depuis la certification. Savoir quoi faire pour résoudre les problèmes et ne paniquez pas si votre régulateur se mets en débit continu, ou votre masque se remplie ou est accroché par un coup de palme. Passez en revue les détails de plongée avec le maître de plongée, pour éviter les surprises. Avant de plonger, évaluer votre état mental. Demandez-vous, «Suis-je inquiet ? Comment est ma respiration est-elle rapide? " Si vous répondez oui, quelque chose au sujet de la plongée vous inquiète. Reconnaissez le problème et régler le avant d'aller sous- l’eau. Plans d’urgence. Des choses arrivent. Il est rationnel d’avoir un peu peur quand quelque chose va mal sous l'eau, mais si vous avez prévu un scénario concernant le problème, la crainte rationnelle est beaucoup moins susceptible de devenir une panique irrationnelle. Ce qui pourrait vous envoyer de l’autre coté (vision tunnel) et même la mort. ? En voyant un requin ? Perdre votre compagnon de plongée ? Les pannes d'équipement ? Avoir une procédure d'urgence prête à toutes les situations et les répéter avec votre compagnon de plongée. De cette façon, si quelque chose d'effrayant arrive, vous savez tous les deux ce qu'il faut faire et vous serez automatiquement faire. Arrêtez. Respirer. Penser. Agissez. Une fois que la panique commence à se faire sentir, vous devez faire ce que vous pouvez pour l'arrêter dans son élan. Il est presque impossible de paniquer lorsque vous prenez des respirations profondes de votre diaphragme. Entraînez-vous à Arrêtez - Respirez - Pensez – Agir lorsque quelque chose d'inattendu se produit. Bien sûr, il arrive souvent un problème de respiration - plus précisément l'incapacité de le faire - qui provoque la panique. Si vous êtes en panne d'air ou ayant des difficultés à respirer, les autres étapes sont encore valables. Pensez à vos options. La plupart des gens peuvent facilement retenir leur souffle pendant une minute. Voilà assez de temps pour trouver votre air de sauvegarde (ou ami) et obtenir une autre source d’air. Connaître les signes de la panique. Les signes classiques suivants sont que vous perdez votre sang-froid (notez que ce sont des signes que vous pouvez vous reconnaître avant d’entrer à l’eau, aussi). Si vous ressentez l'un d'entre eux, arrêter se détendre, respirer, penser - et demander de l’aide. • Respiration rapide ou se sentir comme vous ne pouvez pas obtenir assez d’air. • Fréquence cardiaque rapide, des palpitations ou de lourdeur dans la poitrine. • Troubles gastro-intestinaux, " papillons ", des nausées, des vomissements ou de la diarrhée. • La tension musculaire, des maux de tête ou des tremblements. • Voix tremblante ou de l'incapacité de parler. • Transpiration, frissons ou bouffées de chaleur, sensation hors contrôle ou une catastrophe imminente. La pratique en piscine vous permet de pratiquer les exercices en cas de problème d’équipement et autres, mais aussi vous permet d’être plus à l’aise avec votre binôme. Les exercices d’Open Water que les instructeurs vous ont montré ne sont pas simplement là pour vous faire perdre votre temps. En général ces exercices viennent du fait qu’il y a eu des accidents de plongée relie à ce ou ces problème sous l’eau. Liste des exercices : Vidange de masque voici le top des exercices celui dont vous allez vous servir le plus souvent. Que ce soit à cause d’un coup de palme, masque mal ajuste, cheveux en dessous du masque et même problème de buée. J’ai souvent vus des plongeurs plongée avec un masque super buée qui ne pouvait pas mettre de l’eau dans leur masque et ensuite vider pour mieux voir par peur d’avoir de l’eau dans leur masque…. Récupération du détendeur, un autre intournable, vous vous souvenez surement de la technique. Mais il faut aussi pensez à l’extérieur de la boite. J’ai déjà vus des plongeurs essayer de récupérer leur détendeur sans succès et recommencer et recommencer, quand il avait simplement a prendre leur octo qui est supposé (la aussi entrainez-vous à avoir rien qui pendouille) être dans le triangle des épaules et cage thoracique. Simplement à prendre son octo et ensuite aller récupérer son principal. Partage d’air (octo) nage et remontée. Vous avez tous et toutes faites cette exercice mais combien d’entre vous l’avez pratiqué depuis votre certification ? Gonflage a la bouche de votre veste. Si jamais votre direct system aurait un problème ou bien si vous avez oublié de brancher votre boyau de direct system à votre gonfleur. Débranchement de votre boyau direct system si jamais le bouton de votre gonfleur resterait coincé. Ceci est un exemple des quelques exercices à pratiquer il y en a plusieurs autres….. alors quand j’entends des plongeurs(euses) dire c’est plate en piscine j’ai rien à faire…… Posez-vous la question qu’est ce qui pourrait me faire paniquer, et pratiquez-vous en ce sens. Avez-vous d’autres exercices à suggérer ? Simplement pour vous conscientisez à ce qui pourrait arriver sous l’eau, et comment le régler. Être sous-lestée en fait une plongée inconfortable.
Un plongeur a négligé de vérifier qu'il avait la bonne quantité de poids avant une plongée et a essayé de compenser sous l’eau. Rapport de cas Dan Alert Network. Je me suis rendu pour la première fois avec seulement mon régulateur, masque et bottillons pour avoir le moins de poids en avion. J'utilise généralement un BCD intégré et mets les poids moi-même. Je dis à la boutique de plongée mon poids désiré pour notre première plongée, et la ceinture reçus semblait avoir le bon poids. Sur la deuxième plongée j'ai utilisé la même ceinture empoché mais ne regarde pas à l'intérieur des poches avant de calculer le poids total, ce qui était sans aucun doute mon erreur. Je luttais pour descendre et j’ai avisé le divemaster savoir sur la question du poids. Il a ajouté 6 livres à ma veste, mais j'étais encore sous lestée, ce qui a rendu ma plongée courte et inconfortable. Il n'y avait pas de ligne d'ancrage pour le bateau, de sorte que le palier de sécurité était presque impossible. Heureusement, notre ascension du fond était progressive, et j'ai eu quelques minutes pour souffler à la fin de la plongée. Si vous aimez mes petits articles n’oubliez pas de liker ça va m’encourager a en faire d’autres. Les discussions sont ouvertes les commentaires sont les bienvenues, Je vais revenir sur un autres problèmes d oreilles dans quelques jours. Mes trucs, Premièrement, avant la plongée à la surface, j essais pour voir si mes oreilles fonctionnent bien, je vais faire la manœuvre pour voir si mes oreilles équilibrent facilement. Dans l’eau aussitôt que j’ai la tête sous l’eau, lorsque je vérifie mon lest, j’équilibre aussitôt avant de descendre. Si vous plongée avec une cagoule ne pas oublier de laisser l’eau entrer dans la cagoule ceci va vous aider à bien équilibrer. Ensuite lors de la descente je n’attends pas de sentir une gène (petit mal), j’équilibre avant si on attend surtout si votre descente n’est pas tout à fait contrôler, lorsque vous ressentez un mal et que vous commencez à équilibrer, il est déjà trop tard vous continuer à descendre et le temps que vous équilibrez (exemple à 6 pieds vous êtres déjà rendu à 8 pieds), etc, Voici pourquoi une descente contrôlée est primordial, par mon expérience, la grande majorités des problèmes avec les oreilles concernant l’équilibrage est une descente non contrôlée. L’autre problème c’est que dans les cours nous disons à nos étudiants de faire attention de ne pas équilibrer trop fort. Comment fort doit-on équilibrer ? La même force que nous utilisons à la surface pour le faire. L’important c’est de ne pas y aller d’un coup rapide pour créer l’effet coup de bélier. Comme lorsqu’on manque d’eau et que l’eau revient tout d’un coup les tuyaux peuvent subir des dommages. On peut y aller doucement en augmentant la pression graduellement jusqu’à ce qu’on entende un Pop ou un crack et que il y a soulagement de la pression.
Voici les rappels d équipements de plongées de 2013-2016, il se peut qui en aille d autres si j en vois d autre je vais les ajouter.
Liens utiles :http://www.scuba.com/resources/equiprecall.aspx#abs Aqualung - SureLock II Weight Pocket Handles Aqua Lung is conducting a voluntary recall of SureLock II weight pocket handles. SureLock II is the mechanical weight release system found on most Aqua Lung buoyancy compensators (BCs) beginning in 2009. Aqua Lung is concerned about the rubber handle pulling off of the plastic SureLock II weight pocket assembly. If this were to occur during a dive, the weight pocket would be left engaged inside the BC. There are no known occurrences of this happening underwater, and there have not been any reported injuries, but Aqua Lung believes that a recall is the safe and prudent thing to do. Aqua Lung has made a revision to the handle assembly that strengthens it. A revised handle is easily recognized by a thickened band of rubber at the base of the handle. Consumers should immediately stop using their BCs with Sure Lock II weight pockets. Bring the pockets to your nearest authorized Aqua Lung Dive Retailer or Dive Center. They will be able to replace your handles for you while you wait, as changing handles is a quick process. The replacement is made under warranty and you will not incur any charges. You may find your nearest Aqua Lung Dealer by using the dealer locator at www.aqualung.com. Should you have any questions, please call Aqua Lung Customer Service at 877-253-DIVE (3483) or (760) 597-5000 outside the U.S. Name of Product: DiveAlert & DiveAlert PLUS DA2, DP2, DV2 signaling devices. Units: About 2,500. Hazard: The female coupling poppet o-ring can come dislodged which in turn could result in reduced air flow to alternate regulator / inflation systems which could pose a drowning hazard. Incidents / Injuries: None reported. Description: This voluntary recall involves DiveAlert & DiveAlert PLUS models DA2, DP2, & DV2 signaling devices. (These models are specifically designed to fit the Aqualung AirSource *includes AirSource3 QD*, Oceanic Air XS, Aeris AirLink, and Mares Air Control alternate regulator / inflation systems.) These devices fit inline to the BCD alternate regulator / inflation system, and use the high pressure gas in a scuba cylinder to activate a loud surface horn or an underwater percussion noise. The signaling devices in question have no stamped writing on the female coupling collar. ONLY model DA2, DP2, & DV2 couplings with no writing stamped on the collar are included in the recall. No other DiveAlerts, or any Aqualung, Oceanic, Aeris, or Mares alternate regulator / inflation system are included in the recall. Sold At: Authorized DiveAlert dealers and distributors from July 2009 to May 2013. Manufactured in: United States. Remedy: Consumers should immediately stop using the recalled DiveAlerts and return the device to DiveAlert for a free repair. The repair consists of the replacing of the defective female coupling. Consumer Contact: For additional information, contact DiveAlert toll-free at (800) 275-4332 between 8 am and 5 pm PT Monday through Friday or contact via email at info@divealert.com. Website information, go to www.divealert.com. RETURN TO: DIVEALERT / LIFELINE usa 4214 24TH AVE. W SEATTLE, WA 98199 Oceanic - VTX Personal Dive Computer Oceanic is recalling VTX Wrist Units with serial numbers between 565 – 3632. Oceanic has identified a trend of VTX computers being returned due to water intrusion into the housing. The testing and evaluation of each returned VTX has identified an issue in the tolerances between the housing port and the shaft of the buttons, which has resulted in an unacceptable failure rate of about 3%. As a result, they have developed a new housing which allows for very precise tolerances and additional testing procedures have been implemented in the quality assurance process. New VTX computers will have housings beginning with serial number 5000, and all new and updated VTX computers will be produced using the new housing. Oceanic has extended the warranty period on all VTX computers to three (3) years, and they will be releasing a Quality Alert to facilitate the return and replacement of all affected VTX Wrist units. How to return affected VTX Wrist Units: To expedite the return process, Oceanic has developed an easy to use web based RMA system. A dedicated processing department will process returns. All request for returns will be directed to and handled through this new web based RMA system. Please use the following link to log into their electronic RMA system to create an account, and begin the return process. http://aup.rmaportal.com This digital RMA system will allow for the prompt processing of affected VTXs computers. The RMA system allows 24/7 submission of return requests and real-time status of all returns. IT IS IMPERATIVE THAT ONLY THE WRIST PORTION (RECEIVER) OF THE VTX COMPUTER IS RETURNED. ANY ADDITIONAL EQUIPMENT AND/OR ACCESSORIES WILL DELAY THE PROCESSING OF THE RETURN, AND ANY ADDITIONAL ITEMS MAY NOT BE RETURNED. If you no longer own the VTX Personal Dive Computer, please forward this letter to the new owner or have them contact us. We thank you for your cooperation and support in returning any affected VTX WRIST UNITS. Oceanic strives to produce quality products and to promptly address any issues that may occur. We anticipate the in-house processing and updating of received VTX Wrist units to take approximately ten (10) business days, and we hope to make the return process as effortless as possible. Thank you Omersub - Zero Cube Mask Recall July 20, 2015 Omersub has received consumer reports that the glass used for the lens is non-conforming and is causing them to shatter more easily. Omersub is giving you the opportunity to exchange your Omersub Zero Cube Mask if it was purchased between: April 2012 through April 2014. For details or questions on how to exchange your Zero Cube Mask please contact Omersub at (800) 853-1911, 8am - 5pm PST Monday – Friday. The affected Zero Cube Mask can be sent directly to Omersub at: Omersub Customer Service 1176 Jensen Drive Virginia Beach, VA 23451 Toll Free: 1-800-853-1911 Email: info@technosportinc.com A Return Authorization (R/A) is required If you no longer own the Omerson Zero Cube Mask, please forward this letter to the new owner or have them contact Omersub directly. Scubapro GALILEO SOL AND LUNA RECALL SCUBAPRO has notified the U.S. Consumer Product Safety Commission (CPSC) that it is voluntarily recalling 1,486 UWATEC Galileo Luna and Sol dive computers sold in the United States beginning May 7, 2015. This provides you with information on the recall along with details on the logistics that will be used to complete the recall. We learned from a small number of consumer communications that certain Galileo dive computers experienced screen freezes. No injuries have been reported. Out of an abundance of caution, and consistent with our safety-first philosophy, SCUBAPRO is voluntarily recalling dive computers with specific serial numbers. The affected products are UWATEC Galileo Luna and Sol dive computers with these serial numbers:
DOWNLOAD RETURN FORM Shark Shield Freedom 7 Date: 7/21/2015 Customers have reported that the Shark Shield Freedom 7 has appeared to not charge or appears to charge, but will not turn on. The switch magnet is double protected from salt water by being sealed with a protective coating and two o-rings, however, on very rare occasions, possibly diving to deeper depths, the magnet may be exposed to salt water causing intermittent ON/OFF issues. To resolve this potential problem, Shark Shield has implemented a new improved switch magnet coating with additional anti-corrosive properties in all new products shipping from April 2015, and have released a replacement switch kit available free of charge for you. For questions regarding this improvement contact Shark Shield at (941) 462 4822 or email Shark Shield at Support@sharkshield.com Suunto High Pressure Hoses (DNW) - Suunto Oy today announced an important safety notice regarding its High Pressure Rubber Hoses. This global decision involves Cobra, Cobra 3, SM-36 pressure gauge and gauge combos, as well as Vyper and Zoop when purchased as combo products. Suunto is voluntarily recalling all gauges or computers with high pressure hose purchased between November 1, 2012 and August 28, 2013 WITH the Production Lot Code: 1812 Suunto had a very limited batch of the high pressure rubber hoses used with their air integrated dive computers, dive computer combos and analog combos that have unfortunately been identified to have defective hose material which may impact the durability of the hose. This defect may cause the high pressure rubber hose to leak or rupture leading to loss of breathing gas at higher than anticipated rate which may result in severe injury or death. You must discontinue all diving activities with your Suunto gauge or computer with high pressure hose until getting it retrofitted with a free replacement high pressure hose by sending your high pressure hose into Suunto or taking to your local Suunto Dealer. Action that YOU should take
Oceanic has announced a DVT Quality Alert2014 Oceanic has received isolated reports of DVT assemblies using a specific batch of DVT plungers extruding. Testing and analysis indicates that this occurs when the First Stage is only partially depressurized prior to the removal from the cylinder. Back pressure from the instrument console could cause the DVT Plunger to extrude. This affects Regulators with the DVT technology purchased between 11/01/12 and 06/13/13. Oceanic has initiated a Quality Alert on all affected regulator first stages. Not all regulators are affected, please go to Oceanic's website at http://dvt.oceanicworldwide.com/ to check if your 1'st stage is affected. The affected Regulator First Stage should NOT BE USED until it is inspected and the affected DVT Plunger replaced by an Authorized Oceanic Dealer Service Technician. Please contact Oceanic toll free at (800) 435-3483 or via email service@oceanicusa.com. for additional assistance. Hollis has initiated a Recall of all DG03 Dive ComputersJune 13th 2013 In cooperation with the U.S. Consumer Product Safety Commission (CPSC), Hollis of San Leandro, California, is voluntarily recalling DG03 model dive computers. Hollis has received (2) reports that (2) DG03 dive computers failed to display changes in tank pressure throughout entire dives. Testing and evaluation has shown that this can occur if the DG03's pressure receiver turns off after 10 minutes on the surface prior to a dive resulting in a loss of the link signal that is not regained when a dive then starts. Affected are DG03 dive computers having serial numbers 100 through 1142 that were sold between July 2011 and May 2013, and are being used for diving activities that include use with integrated pressure transmitters. WARNING: DO NOT CONTINUE USE of a DG03 dive computer for activities that include use of an integrated pressure transmitter until the software is upgraded to revision r1B. Visit the Hollis Gear web site to Upgrade the DG03 firmware to revision 1B, or take the unit to an Authorized Hollis Dealer for assistance at no cost. please go to Hollis's website at hollisgear.com/DG03-quality-alert.asp for complete details and information. Please contact Hollis toll free at (888) 383-3483 or via email info@hollisgear.com for additional assistance. Scuba High-pressure Air HosesA recall was issued on 2014-01-23 due to a potential drowning hazard. Items sold new beginning in November 2012 for about $85 to $900. Hollis has initiated a Recall of all DG03 Dive ComputersJune 13th 2013 In cooperation with the U.S. Consumer Product Safety Commission (CPSC), Hollis of San Leandro, California, is voluntarily recalling DG03 model dive computers. Hollis has received (2) reports that (2) DG03 dive computers failed to display changes in tank pressure throughout entire dives. Testing and evaluation has shown that this can occur if the DG03's pressure receiver turns off after 10 minutes on the surface prior to a dive resulting in a loss of the link signal that is not regained when a dive then starts. Affected are DG03 dive computers having serial numbers 100 through 1142 that were sold between July 2011 and May 2013, and are being used for diving activities that include use with integrated pressure transmitters. WARNING: DO NOT CONTINUE USE of a DG03 dive computer for activities that include use of an integrated pressure transmitter until the software is upgraded to revision r1B. Visit the Hollis Gear web site to Upgrade the DG03 firmware to revision 1B, or take the unit to an Authorized Hollis Dealer for assistance at no cost. please go to Hollis's website at hollisgear.com/DG03-quality-alert.asp for complete details and information. Please contact Hollis toll free at (888) 383-3483 or via email info@hollisgear.com for additional assistance. Scuba High-pressure Air HosesA recall was issued on 2014-01-23 due to a potential drowning hazard. Items sold new beginning in November 2012 for about $85 to $900. Voici la traduction et je vais ajouter des commentaires dans 2 jours, Si vous avez des commentaires ne vous gêner pas les discussions sont ouvertes.
Nous faisons tous des erreurs tout au long de notre vie, mais la plupart du temps nous vivons pour en parler et nous espérons en apprendre quelque chose d'eux. Parfois, nous nous sentons le désir de dire aux autres ... non, avertir les autres au sujet de ces erreurs dans un effort pour les empêcher de faire les mêmes. Et d’autres fois nous ne disons rien du tout dans l'espoir que nos amis vont réellement faire les mêmes erreurs de plongée et nous pouvons pointer et rire d’eux. (Ou peut-être c'est juste moi?) Une des premières erreurs de plongée que je fis a failli me coûter ma vie. Eh bien peut-être pas tout à fait dramatique, mais c'est mon histoire. A l'époque j'étais certain que j'allais mourir, et c'est ce qui compte, non? La plongée est toujours ancrée dans ma mémoire à la fois comme un de mes pires plongées, et un de mes meilleurs pour deux raisons très différentes et distinctes. Il est sans aucun doute, l'un de mes plus mémorables. Voici l’Image un jeune passionné de sport-aventure et plongeur novice, ayant à peine terminé sa certification Advanced Diver. Je l'avais en coup de vent à travers mon open water et directement dans mon avancée avec tres peu de plongée entre les deux. L'épave Duane au large de Key Largo repose dans 130 pieds d'eau, mais le pont est à 100, à peine dans les limites de la cert Advanced Diver. Techniquement, j’étais "correct" si je le plonge. Techniquement. Mon camarade de plongée et moi avons décidé que ce serait tout simplement la plongée parfaite pour notre première plongée sans instruction. Oui, vous avez bien entendu. Tous nos énorme 12 plongées avant cela avaient des instructeurs impliqués et étaient toujours sur les récifs peu profonds, dans les lacs, ou les ressorts. J'ai sauté dans l'eau avec un peu plus de néoprène que je porte normalement en raison d'attendre l'eau légèrement fraiche en profondeur. J’avais juste assez de néoprène pour être légèrement positif. Je ne le savais pas, nous avions cette ligne de descente liée à l'épave ci-dessous. Je pensais à l'ironie d'un bateau sur la surface liée à une ligne qui a été liée à un bateau coulé à plus de 100 pieds au fond de l'océan. (Et maintenant je pense à l'ironie du fait que j’ai probablement abusé du terme l'ironie.) Puis, avec une certaine quantité d'excitation et d'anxiété, main après main, je me suis tiré vers le bas pour les profondeurs obscures ci-dessous. Je ne savais pas que je me tirais vers le bas, cependant. Je ne savais pas que je sous lesté. Du moins pas encore. Finalement, nous avons atterri en toute sécurité sur le pont de l'USS Duane, fait nos vérifications 'ok' et de l'air. Mon air était plus bas que je l'avais prévu, mais je n’ai rien dit. J'étais anxieux et respirant lourdement, excité au sujet de la plongée, mais aussi une petite crainte. Nous avions un guide avec nous, mais cela a été notre première plongée sans instructeur. Nous avons commencé à faire notre chemin autour du navire et je vérifié à nouveau mon air. J'étais bas en air. Très bas. Donc incroyablement bas cela n’avait pas de sens, car il semblait que nous étions là pour juste une minute! Je montre a mon copain mon air, puis nous avons montré avec le guide. Bien sûr, la plongée a été immédiatement arrêtée. Nous avons commencé notre ascension à une distance de la ligne pour une raison quelconque, et à un certain moment au cours de l'ascension, je commencé à accélérer involontairement. Le guide me fit signe de ralentir, et je tenté en vidant ma veste d’air et en expirant. Je m’élève au-dessus des autres plongeurs rapidement. A environ 45 pieds mon ascension est devenue hors de contrôle. Le guide a attrapé mon pied et a essayé de me maintenir mais je le tire vers le haut comme un ballon porterait une chaîne. Il lâcha. Je ne le blâme pas. J'étais certain que j'allais mourir. J’essayai de nager la tête en bas les pieds en haut pour prendre le contrôle. J’expirais et expirait... heureusement, je savais faire ceci. Je me souviens à un moment en regardant a la surface et de penser: «Je vais mourir quand je serai là-haut." Je croyais bien littéralement que quand j’allais faire surface quelque chose de terrible allait se produire et j’étais impuissant à l'arrêter. Ce fut un sentiment que je n’oublierai jamais et que j'espère avoir jamais. Eh bien, j’arrive à la surface. Comme un bouchon de liège. Pas vraiment, comme un bouchon. J'ai sorti hors de l'eau avec la force. J’ai fait une vérification rapide sur moi-même. Rien de mal. Aucune douleur à la tête. Pas de douleurs à la poitrine. Aucune douleur pulmonaire. Pas de vertiges, vision floue. Rien. OUF. Les gens sur le bateau me regardaient curieusement comme ils ont pris mon équipement et remonta sur la bateau. J’ai expliqué que ... euh ... nous avons eu une course à la surface et j’ai gagné! Ok, donc je n’ai pas dit cela, mais j’ai expliqué ce qui est arrivé. Ils m’ont fait assoir et m'ont dit de ne pas bouger. Le guide et les autres plongeurs sont venus quelques minutes plus tard et tout le monde me vérifia. Je continuais d'assurer tout le monde que j’étais bien, mais je ne pouvais pas plonger à nouveau ce jour-là. Honnêtement, je ne voulais pas. Je venais de me faire peur à moi-même et mon adrénaline n’avait pas encore descendu. Je suis parti de cette expérience sans problème, mais j’aurais pus très facilement avoir eu des complications graves. Je suis parti un peu plus humble et avec une dure leçon apprisse. Mais au moins je marche. Mes plus grandes erreurs de plongée Pas assez de poids? Me tirant vers le bas la ligne? Ne pas indiquer mon air qui était basse dès que je l'ai remarqué? Attendre trop longtemps pour vérifier à nouveau? Ne pas avoir vidé ma veste assez rapidement? Ne pas essayer d’aller à la ligne que j’aurais pus utilisé pour arrêter mon ascension? Non, le plus grand de mes erreurs de plongée ce jour-là était de plongée en dehors de la plongée de ma zone de confort et à l'extérieur de mes limites. Bien que techniquement je suis raclé pour une plongée de 100 pieds avec ma certification avancée, il était extrêmement stupide et arrogant que moi et mon copain de faire cette plongée après avoir seulement une douzaine de plongées sous notre ceinture et tous dans les eaux peu profondes, des conditions plus contrôlées (lac, printemps), et avec des instructeurs. Pour moi d'avoir choisi le Duane comme ma première véritable plongée en eau libre seul était ma première erreur. Toutes les autres erreurs ... découlèrent de celui-là. Sachez ce que vous pouvez plongée et connaissez vos propres limites. Juste parce que votre carte indique que vous pouvez ne signifie pas que vous devriez. Soyez réaliste quant à votre expérience ou l'absence de celui-ci. À titre d'instructeur, la dernière chose que je veux est que mes élèves fassent les mêmes erreurs que j’ai faites. J'essaie donc de relayer cette histoire au plus grand nombre d'entre eux que je peux enseigner un certain nombre de leçons (sachant que vos limites, étant pondérées correctement, en gardant un œil sur l'air, etc.). Je souhaite que mon erreur (ce qui n’était certainement pas mon dernier) puisse aider les autres à apprendre et ne pas faire la même. Au moins pas celui-ci. Il y en a quelques autres que je garde pour moi. Voici mes commentaires pour ce qui est de l’accident de plongée. Premièrement, saviez-vous que, l'erreur humaine (un mauvais jugement), et la panique sont considérées comme les principales causes d'accidents de plongée et de décès. https://en.wikipedia.org/wiki/Human_factors_in_diving_safety J’enseigne à mes étudiants d’utiliser la corde de descente seulement comme référence à utiliser, de ne jamais se tirer avec, si je la tiens à cause du courant je ne la sers pas, j’ai la main fermée mais elle peut glisser si la corde suis le mouvement des vagues avec le bateau, donc elle peut glisser dans mes mains et je ne vais pas être entrainé de haut en bas à cause des vagues. Mais ceci n’est pas la première erreur. L’erreur ce n’est pas avoir sauté à l’eau avec pas assez de plombs, mais de ne pas avoir fait un test de flottabilité avant de descendre. Souvent, je vois des plongeurs débutants que ce soit dans le sud ou ailleurs qui se jettent à l’eau et qui descendent tout de suite. N’oubliez pas de toujours vérifier avant de descendre, on se rappelle on doit flotter avec de l’eau au niveau des yeux veste vide d’air, avec une respiration normale. Si on plonge en acier on est correct si on plonge en Aluminium on doit rajouter 4 livres. Une des grandes importances du log book est de noter le lest que l’on a avec la configuration avec laquelle on plonge, ceci est un aide-mémoire afin d’avoir très bonne idée du lest dont on a besoin, cependant on doit quand même faire le test de flottabilité avant de descendre. Mon expérience de plongée dans le sud me fait dire qu’ on est mieux de vérifier quand même, parce que à l’occasion on nous mets pas exactement le lest demandé dans notre veste. Qu’est qu’une planification de plongée ? La planification de plongée comporte l’entrée la sortie, la profondeur, le courant, condition météo, vagues, et des renseignements ce qui a à voir. N’ayez pas peur de savoir ce que vous allez plonger, même si c’est des sorties organisée. Faites comme si vous alliez plongée avec votre binôme comme si il n’y avait pas de guide. Préparez-vous, bien sûr écoutez le briefing, cela renforcera ce que vous savez déjà. Si vous pensez j’aimerais bien faire cette plongée ça doit être super … Posez-vous la question suis-je capable sans le moindre doute de faire cette plongée ? Bonne plongée gang. Voici la traduction , je vais revenir avec la conclusion de l accident et recommandations dans 2 jours pour laisser le temps aux gens de commentés ... Conclusion poster 28 mai 2016
Problèmes mineurs, Conséquences majeurs Un plongeur panique et se noie avec un cylindre plein d'air. Ann et Bill ont vraiment été accrochés par la plongée. C’était tout ce qu'ils avaient imaginé, et plus encore. Ils plongeaient dans une carrière locale, et les conditions étaient bonnes dans l'ensemble. Quand ils ont atteint la plate-forme de 60 pieds vers le bas, Ann a remarqué que Bill avait des problèmes avec sa ceinture de plombs qui s’était déplacé, il s’est agenouiller sur la plateforme pour essayer de remédier à la situation. Elle ne s’attendait pas à ce que ce soit un gros problème. Mais Bill avait de la difficulté à replacer sa ceinture au bout d’une minute, Ann commençait à avoir froid. Elle décida d’aller aider Bill. Celui-ci en replaçant sa ceinture c’est tourné, n’ayant pas vu Ann, il accrocha le régulateur de celle-ci. C’est alors qu’il réalisa ce qui c’était passée, en voulant l’aider à récupérer sont détendeur, sa ceinture de plombs a devenu lâche et a tombée sur la plateforme à l’arrière de lui. Soudainement il commence à flotter vers la surface, essayant tant bien que de mal à rejoindre sa ceinture de plombs sur la plateforme. En nageant pour essayer de rejoindre sa ceinture de plomb Bill perd une palme et son cylindre devient lâche. C’est alors qu’il refait surface, et n’est plus capable de redescendre. Arrive a la surface il réalise que Ann n’est pas derrière lui, il signale pour de l’aide, 2 plongeurs qui étaient sur le bord viennent à la rescousse, Ils ont retrouvé Ann après 15 minutes, inconsciente et le régulateur encore hors de sa bouche. Il ont essayer les manœuvres de réanimation mais sans succès les autorités et autopsie ont conclus à la noyade. Les plongeurs Une nouvelle plongeuse, 24 ans, Ann était en bonne santé. Elle avait fait 15 plongées au total, dont quatre de sa certification initiale, sept mois plus tôt. Elle a essayé de se rendre à la carrière locale chaque mois pour continuer à pratiquer avec son compagnon de plongée, Bill qu'elle avait rencontré en classe plongée. Ils étaient devenus très vite des amis, et Ann était heureuse d'avoir un compagnon de plongée avec un niveau d'expérience similaire et ayant les mêmes intérêts. Ils étaient tous deux enthousiasmés par les possibilités de plongée lors de voyage et de suivre une formation supplémentaire. Les deux plongeurs ont utilisé un mélange de matériel loué et personnel. Ils achetaient des équipements comme ils pouvaient se le permettre. La plongée Conditions ce matin étaient comparables à ce qu'ils avaient appris, l’eau était fraîche. Typique pour la fin de la saison de plongée, et Ann et Bill ont été en mesure de porter leurs combinaisons normales. Ils ont prévu de faire une plongée assez typique pour la carrière. Ils allaient nager à une bouée de marqueur sur la surface, puis descendent vers une plate-forme de 60 pieds vers le bas. De là, ils ont prévu de nager vers le des eaux moins profondes, explorer quelques-unes des attractions en contrebas dans la carrière. Ils avaient fait la même plongée de base plusieurs fois avant. UNE ANALYSE En apparence, certains pourraient penser que cet accident de plongée a été causé par l'équipement de plongée. En réalité, l'accident a été causé par l'incapacité d'utiliser correctement l'équipement et de répondre à ce problème. Dans le livre Plongée sous-marine Sécurité, Dan Orr et je cite le Dr George Harpur, directeur médical du centre hyperbare Tobermory en Ontario, Canada. Il dit: «Nous ne sommes pas en mesure de documenter un seul cas dans lequel une panne d'équipement a directement causé la mort ou la blessure d'un plongeur. Il a été la réponse du plongeur au problème qui se traduit par la pathologie ". Chaque plongeur a eu un problème avec une pièce d'équipement à un moment ou un autre. Comme dit le proverbe, "Si vous ne l'avez pas eu de problème, vous n'avez pas assez plongée." La clé de la gestion des problèmes est de répondre rapidement et calmement, et de passer ensuite à l’action. La perte de contrôle (panique) est la clé pour faire qu’un simple problème dégénére en un plus gros. Bill a été de plus en plus frustré par sa ceinture de plombs, et probablement un peu nerveux. Il était tellement obsédé par son problème qu'il n'a pas vu Ann venir vers lui. Quand elle a essayé d'aider, ses mouvements saccadés frappèrent son régulateur de sa bouche. À ce stade, les deux plongeurs avaient des problèmes, mais aucun problème n’était insurmontable. Ann aurait reculé, retrouvé son régulateur puis signalé Bill d’arrêter afin qu'elle puisse l'aider. Cela n'a pas été le cas. Un thème récurrent dans cette colonne est la réaction humaine de panique. Lorsque la panique s'installe, il y a un rétrécissement perceptif et la vision de tunnel. Cela limite vos réactions, vous empêche de penser calmement à travers un problème. Ann et Bill à la fois paniqué. Ann n'a pas réussi à récupérer son régulateur (quelque chose que chaque plongeur apprend à faire), puis n'a pas réussi à faire une remontée d'urgence à la surface. Au lieu de cela, elle a simplement gelé sur le fond et noyé avec une alimentation principalement pleine d'air sur son dos. Bill a paniqué quand il a perdu sa ceinture de poids, et ses efforts pour revenir vers le bas devenait de plus en plus erratique, lui faisant perdre une palme et déloger son cylindre. Beaucoup de plongeurs ne pratiquent jamais les compétences d'urgence qu'ils ont apprise au cours de leur formation initiale. Ils ne vérifient pas la récupération d'un régulateur en cas de perte ou de retrait et le remplacement de leurs ceintures de plombs. Ces deux compétences de base aurait pu sauver la plongée, ce qui permet aux plongeurs de continuer sur après une brève interruption. Il aurait pu facilement tourner la page et en rire plus tard. Il est possible que Ann et Bill utilisaient un équipement inconnu, parce que certains de leurs équipements ont été loué. Lorsque tel est le cas, il est encore plus important de prendre quelques minutes au début de la plongée pour examiner votre équipement et celui de votre copain , pour vous assurer que vous savez où tout est situé et comment il fonctionne. Ann noyé sur le fond de la carrière, avec beaucoup d'air dans sa bouteille de plongée. Noyade ne signifie pas toujours la personne a inhalé de grandes quantités d'eau; souvent la victime de noyade n'inhale une cuillère à café d'eau. Cela provoque un spasme au larynx et ferme celui-ci, à proximité, la réaction involontaire provoque la suffocation. L'autopsie n'a pas inclus des informations détaillées sur les poumons d'Ann, mais il est possible que, dans sa panique, elle respira un peu d'eau, puis a perdu connaissance. Si elle avait eu un laryngospasme, il aurait été presque impossible pour elle de prendre une grande respiration. Leçons pour la vie 1. Compétences d'urgence de pratique. Prenez le temps de pratiquer les compétences d'urgence régulièrement. Cela comprend l'enlèvement du masque et le remplacement et la récupération du régulateur. Ces compétences de base peuvent transformer un désastre potentiel en un problème mineur qui ne se terminera pas une plongée. 2. Se familiariser avec votre équipement. Si vous plongez avec quelque chose de nouveau ou avec un engin loué, être familier avec votre équipement et celui de votre copain . Savoir où les boucles de poids sont, et comment ajuster et de les libérer. 3. Prenez une grande respiration. Quand un problème survient, arrêter un instant et prenez une grande respiration. Pensez à la façon de traiter le problème, et ensuite agir. Ça pourrait sauver votre vie. Ceci est l’analyse de DAN, voici des notes personnelles. En tant que instructeur de plongée, nous enseignons a nos étudiants les techniques de récupération de détendeur. Mais comme je dis souvent aux étudiants, si jamais ton détendeur sort de ta bouche, si vous paniquez il y a toujours votre détendeur de secours (octo) qui est a proximité, si vous avez bien configurez votre équipements il est supposé être dans le triangle épaule bas du sternum, alors simplement prendre l'octo qui est près de l’épaule le mettre dans la bouche et ensuite récupérer son détendeur principal. Pratiquez-vous à enlevez votre détendeur de votre bouche, et à le remettre sans avoir à le récupérer simplement s'habituer à être confortable sans avoir un détendeur dans la bouche. Beaucoup de plongeur se sente mal à l'aise si leur détendeur n'est pas dans leur bouche. Pour ce qui est de la ceinture de plombs, il faut prendre son temps, l'important est de ne jamais lâchés la ceinture, nous savons tous ce qui arrive si nous n’avons pas de plombs surtout en eau froide avec un 7 ou 14 mm, nous plongeons avec une grande quantité de plombs. Faites un essai lors de votre prochaine plongée, mettez votre équipements sans les plombs, laissez les plombs sur le bord, dégonflez votre veste dans environ 10 pieds d’eau. Essayer d’aller toucher le fond cela va vous donnez une idée de l’importance de vos plombs... Petit défi si vous réussissez à le faire dites le moi parce que c’est pratiquement impossible (sauf si vous êtes en double en acier) mais la c’est une autre histoire. Bonne plongée https://www.diversalertnetwork.org/diving-incidents/freeflowing-reg-leads-to-oog-ascent
Voici la traduction en français. Un régulateur à écoulement libre (free flow) conduit à une remonté avec cylindre d’air Deux plongeurs visitent une épave à 127 pieds profondeur de FSW (Feet Salt Water), dans un fort courant, et la source d'air Octo du plongeur se met en écoulement libre (free flow) ce qui a pour conséquence de vider très rapidement le cylindre du plongeur. Les binômes font une ascension avec partage de l’air. HISTOIRE SIGNALE: L'épave était dans l'eau 127 FSW (38 msw) de profondeur. Les courants étaient très forts ce jour-là, avec des températures de l'eau dans le F 80 (20C). Nous descendîmes par binômes; mon partenaire et moi avions 3000 psi (207 bar) d'air. Pendant la plongée, nous avons exploré le navire et ses compartiments, j'ai vérifié ma jauge et avait 1500 psi (~ 100 bar) quand nous étions à l’extrémité, loin de notre corde de surface. Comme nous avons commencé notre nage à la corde, je regardais ma jauge et a remarqué qu'il avait chuté en dessous de 1000 psi (70 bar), je l'ai fait une vérification rapide et a trouvé ma source d'air de secours perdait de l'air (free flow). J'ai essayé de le faire arrêter sans succès. J’informe mon partenaire et je respirais de ma source d'air de secours pour tirer le meilleur de l'air que je perdais. A 90 FSW (27 msw) je n’avais plus d’air, mon partenaire m'a donné son octo et nous avons continué notre ascension. Lors de notre arrêt de sécurité, nous avions 500 psi (35 bar) donc nous avons été contraints de réduire notre arrêt sécurité et faire surface. Nous étions contents d’être revenu sur le bateau sain et sauf. Qu’auriez-vous fait ? Comment cela aurait-il pus être évité ? Y a ti-il d’autres précautions qui auraient pu être appliquée pour empêcher cet évènement ? Ayez pas peur d’émettre vos commentaire svp merci |
AuteurPatrick Laurion instructeur de plongée sous-marine Padi OWSI. Archives
Mars 2017
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